Une perpétuelle évolution sonore, des métamorphoses saisissantes, ANAKRONIC revient avec un album dystopique, onirique et profondément versatile. Onze dimensions parallèles pour un album qui dévore le monde, voici LIVIYATAN, un nouvel opus colossal.


Dès sa création, ANAKRONIC n’a eu de cesse de jouer avec les codes temporels, mêlant folklore passé et futurisme cryptique. La musique se veut simultanément intemporelle et rattachée à des instantanés figés, des clarinettes fantomatiques des klezmorims aux envolées accordéonistiques du siècle passé, en passant par les beats mécaniques de l’électro et les sonorités tremblantes des synthétiseurs modulaires.

ANAKRONIC transforme les matières sonores, des chants, des instruments, des héritages du passés.

Le groupe s’approprie ces morceaux d’histoires, de traditions et de réalités enregistrées, les fait siennes et invente des musiques, des mythes, des récits emprunts d’un passé imaginaire et d’un présent parallèle.

« J’ai envie que notre discographie se nourrisse d’elle même, trouve une cohérence dans une introspection un peu schizophrénique. »

LIVIYATAN est un recueil de chansons qui embrasse la dystopie comme fil rouge thématique.

La multitude d’artistes interprètes qui s’est associé à l’écriture de ses contes, nous dépeint des mondes décalés qui, pourtant, résonne tragiquement avec nos sociétés actuelles.

Après s’être aventurés dans les territoires klezmer et électroniques (Speak with Ghosts et Noise in Sepher), après avoir mêlé leur univers au hip-hop avec la rappeuse américaine Taron Benson (Spoken Machine), après avoir croisé les armes avec le clarinettiste new-yorkais David Krakauer (Anakronic / Krakauer), ANAKRONIC présente son cinquième et nouvel album LIVIYATAN, une confrontation entre voix et samples dans toutes ses variations.
Voix féminines d’abord, que ce soit avec Fanel (Fanel, Rufus Bellefleur…), la rappeuse de Chicago Rita J., ainsi que Hend Elrawy (Orange Blossom) ou Thérèse (La Vague), mais aussi des voix masculines comme celle du Londonien Tendayi ou encore celle de Julien Cassarino (Psykup).
D’autres comme des musiciens d’Initiative H ou de l’Orchestre de Chambre de Toulouse, sont également venu accompagner ANAKRONIC dans cette création atypique.
Avec ce nouvel opus, ANAKRONIC prouve une nouvelle fois qu’ils aiment aller là ou on ne les attend pas, qu’ils aiment prendre des risques, expérimenter et jouer avec les sons.
 

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PREMIER TITRE DISPONIBLE – HUMAN TRIBE FT. VINCENT PEIRANI